Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
La soupe au lait.
La soupe au lait.
Publicité
La soupe au lait.
Newsletter
1 septembre 2010

« Si j'étais trop cuite, je serais une crème brûlée. » - La Soupe au Lait à propos de son bronzage.

img077

Hello les gens,

Avant d'écrire un article sur ma rentrée, je vais d'abord en écrire un sur mes vacances, s'il vous plaît. Bon, très bien, par où commencer ? Début août, j'ai quitté ma chambre et le monde de l'internet pendant un mois, pour aller disparaître au milieu de nulle-part.

D'abord dans le Cantal, où j'ai vu des vaches par milliers (je suis méchante, c'est très joli, et en plus il y a aussi des poneys), et où j'ai cherché pendant dix minutes sur le tympan de l'abbatiale de Conques le morceau qui avait servi de couverture à mon édition du Silence des Agneaux. Et puis en Creuse - et là, même pas la peine d'en parler, il n'y a pas tellement de vaches, mais il y a encore moins d'habitants -, où je suis retournée une dernière fois dans le minuscule village où j'ai passé plusieurs étés dans mon enfance, où j'ai aussi constaté que la France profonde était au fond - sans mauvais jeu de mots - bien triste. Et enfin, chez mes grands-parents, en Bretagne - dans l'Ouest qui me manque si souvent ici, dans le Nord - où j'ai été méchamment agressée par une guêpe. Durant ces petits séjours, j'ai hérité d'une paire de bottes en caoutchouc, d'une écharpe tricotée par ma grand-mère, et de lacets rouges - oui oui.

Et puis bien avant cela, en juillet, même si ça semble très loin maintenant, je suis retournée dans mon ancienne ville, regrettée parfois, de Laval, où j'ai retrouvé mon vampire de meilleur ami. Il faisait encore beau et chaud, à l'époque. Car il faut l'avouer quand même, le temps du mois d'août n'a pas été formidable vers la fin. Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, il ne l'était pas. De toute manière, ce n'était pas très grave ; j'avais emmené assez de livre pour deux mois.

Mais quoi qu'il en soit, les vacances sont passées et on reprend rapidement les vieilles habitudes, c'est à dire le retour à la ville, aux voitures bruyantes, aux terrasses de cafés tout aussi bruyantes, à la foule du samedi, au centre commercial, aux klaxons et aux joies de la pollution et de l'urbanisme. Allé, j'arrête l'écologie pour ce soir. Bonne nuit !

midnightsal

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité